Je n’ai pas eu le plaisir de visiter moi-même la Corée, mais parmi les choses qui ont marqué mon homme quand il a eu la chance de s’y rendre ( le traître ! grrr, et 2 fois en plus !) il y avait ce superbe costume traditionnel des coréennes nommé le Hanbok.
Les images qu’il m’avait ramenées et celles que j’avais glanées ici et là ont tranquillement fait leur chemin et j’ai eu envie de créer un modèle qui leur ressemble.
Bien sûr, passé à la moulinette de mon cerveau (si, si j’en ai un… j’entends déjà ceux qui gloussent! Par contre, il mouline…) et adapté aux contraintes du quotidien il ne reste plus grand chose de ce magnifique costume.
Alors voilà ce que j’ai voulu garder : une ceinture très haute sur la poitrine, une grande ampleur de jupe, un peu de longueur, mais raisonnablement (un peu trop courte sur la version que je vous montre aujourd’hui mais modifiée sur le modèle définitif), et enfin, la possibilité de jouer avec une quantité de couleurs en « découpant » cette robe à ma sauce.
Exit le col croisé (en réalité un boléro qui se porte par-dessus la robe) et la ceinture qui pendouille (un brin dangereux me semble-t-il).
Je crois que je me suis fort éloignée de mon rêve d’extrême-orient, mais tant pis, j’aime quand même ce modèle et je pousse le culot jusqu’à le nommer « Séoul » pour la boutique…
Je vous propose donc pour cette deuxième robette de printemps une version très sage de cette « Séoul » en lin turquoise (Chien vert) et fleuri du marché (que j’aime d’ammmmûuur).
(un clic sur les miniatures )
Et s’il faut vous convaincre que j’aime cette association de tissus, voici une photo de ma poulette, l’année dernière à la même époque (avec une robe trapèze des « Intemporels pour bébé » et un bloomer maison)
Rdv l’année prochaine il m’en reste encore un peu…
Ps : Si vous avez bonne mémoire, c’est déjà cette forme de robe que j’avais voulu expérimenter ici (pas têtue, opiniâtre…)
Ps bis : J’en profite pour vous dire que (si tout va bien) les robes seront demain dans la boutique… enfin!
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Ensuite une Oslo de C’est Dimanche, dans mon Capel rouge d’amûuuur (celui-là vous allez en souper…) 
